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Le jeune touriste veut louer un chameau pour rejoindre une oasis. Quand un marchand noir lui fait signe d'entrer dans sa tente au beau milieu du désert, il s'attend à passer l'un de ces moments ennuyeux où il est question de refourguer de vieilles babioles. Mais l'homme noir, divinement bâti, a quelque chose de bien plus gros et intéressant à lui proposer. Face à une tige monstrueuse qui se présente devant lui, le petit blanc ouvre grand la bouche et se jette sur le morceau comme un assoiffé. L'homme lui parle, probablement pour lui donner des ordres ou l'insulter, mais il ne comprend pas sa langue. Par contre, il comprend très bien sa bite, qu'il parvient à faire grossir jusqu'à un niveau indécent. Discrètement, deux mâles métisses profitent du spectacle en rigolant et en se branlant. Aussi facile à monter qu'un chameau, le trou du touriste devient une oasis pour la bite du marchand black qui ne va pas le ménager...
Ils sont en exercice. Ils font un footing dans la garrigue, sous un soleil harassant. Après deux heures sans le moindre arrêt ni la moindre parcelle d’ombre, ils trouvent un petit coin avec quelques arbustes — oh ! on ne peut pas parler d’oasis hélas. Ils vident une grande partie de leurs gourdes en buvant et en s’humidifiant le visage, puis profitent du repos pendant quelques secondes, jusqu’à ce qu’un des collègues se paluche le paquet et s’en vante. Les autres en profitent et l’approuvent même. Ils vont alors se lancer dans une petite partouse totalement improvisée au beau milieu d’une nature provençale qui n’a pas fini de réchauffer les coeurs et les culs de ces militaires minets musclés !
